Mêler musique et photographie, c’est faire se rejoindre mes deux passions. Et quand la séance photo musique se passe en plus dans ce lieu complètement dingue qu’est le studio Condorcet à Toulouse, on peut dire que je suis à 3000 % dans mon élément.

J’y ai photographié un groupe toulousain de musique pop : Tango Juliett. Les gars du groupe sont supra cools et leur musique géniale. Nous nous sommes rendus dans ce studio d’enregistrement totalement dingue pour faire cette séance, c’était tellement vintage que je ne savais plus ou regarder. Cet esprit des années 70 était absolument fabuleux. J’aurais pu y passer des jours, sans jamais m’épuiser tant il y avait de possibilités en terme de photographie. Vous remarquerez l’effort vestimentaire, au top.

Si je vous parle aussi du studio Condorcet, c’est parce que cet endroit légendaire à Toulouse va disparaitre. Son quartier va subir une rénovation drastique, et tout va être démoli pour y reconstruire des bureaux et des logements neufs. Au delà de l’immense perte que cela représente au niveau culturel, c’est toujours un crève coeur de voir que petit à petit, tout le charme de notre chère vieille ville rose se transforme en béton neuf, froid et sans charme.

En tant que musicien(s), faire une séance photo vous permet d’avoir des photos qui claquent pour vos divers supports de communication : Flyers, pochettes d’album, site internet et plateforme d’écoute en ligne, communication dans la presse pour vos événements et sur les réseaux sociaux… Il n’est plus à démontrer qu’une bonne communication faite avec de belles images qui illustrent bien votre travail vous aidera à développer votre activité et augmentera la popularité de votre groupe.

Ou faire une séance musique? Partout ou vous aurez envie! Dans un endroit qui vous ressemble, à l’intérieur ou à l’extérieur. Je peux vous donner des idées de coins sympas, sauf si vous savez déjà exactement ou aller.

 * * * * * * * * * * * * * * * * *

Groupe : Tango Juliett  * * * Ecoutez ici * * *

Lieu : Studio Condorcet, Toulouse.

 * * * * * * * * * * * * * * * * *